Certains d’entre vous l’attende avec impatience, mon atelier Bullet Journal gratuit (et avec lui la première Newsletter) se font désirer. 😉 Je suis en train de régler les derniers petits soucis techniques inhérents à ce premier lancement de projet et je suis arrivée au triste constat que cela ne se ferait pas cette semaine. En revanche, j’ai tout de même bon espoir de vous partager ce cadeau de Rentrée pour mardi prochain. En attendant, j’ai décidé de vous surprendre (je me suis surprise moi-même !) avec une vidéo, pour vous parler d’une lecture que j’ai faite cette semaine et qui m’a littéralement transporté.
COUP DE COEUR ABSOLU !!
Je vous en parlais semaine dernière, ça fait un moment que je me dis que je ne vous partage pas assez mes lectures sur ce Blog, et je m’aperçois que ce qui me retient, c’est que le compte-rendu écrit n’est pas très excitant à faire ou même à lire pour moi. Ce temps d’écriture, j’aurais plus envie de le réserver pour mes créations personnelles (poésie, roman) ou pour des articles sur des sujets qui m’animent. Pour autant, la lecture constitue la matière première à toute création, et je ne nie aucunement l’influence qu’elle peut avoir dans mon cheminement. Alors, comment concilier tous ces paramètres ? Tout simplement en changeant de format, et celui qui me semble le plus adapté serait la vidéo… si je n’étais pas si intimidée par la caméra. Mais cette incroyable BD m’a aidé à franchir le pas !
Car oui, c’est une BD. J’en ai peu parlé sur ce Blog, mais j’adore la BD et sans être une amatrice éclairée sur le sujet, je ne peux pas passer un mois sans en lire au moins une, cela fait partie de mes nourritures de l’âme. Celle dont je vous parle aujourd’hui, je l’attendais, mais j’avoue que je ne m’attendais pas à l’aimer autant ! J’avais tellement de choses à dire que la vidéo s’est imposée d’elle-même. Soyez indulgent.e.s, première chronique de ma life :
Je voulais tout de même rajouter qu’Anais Nin fait partie de ces femmes écrivaines qui ont permis à d’autres femmes de s’émanciper dans l’expression de leur sensibilité artistique. Sans s’être revendiquée féministe, elle a contribué, à sa manière, à repousser les limites que l’on imposait aux femmes, de son époque et d’aujourd’hui, dans la reconnaissance de leur légimité en tant qu’Artiste.
« Chaque homme à qui j’ai fait lire mes textes a tenté de changer mon écriture. Écrire comme un homme ne m’intéresse pas. Je veux écrire comme une femme. Je dois plonger loin de la vie pour trouver les mots… sous la mer des mensonges »
Anais Nin
Bonne lecture et excellent WE !!